La décision annoncée mercredi par la Cour suprême signifie que les femmes vivant dans des Etats pénalisant l’avortement peuvent déposer des recours, qu’elles soient enceintes ou pas, ce qui de facto amène à autoriser l’avortement au niveau national.
La pénalisation de l’interruption volontaire de grossesse contrevient “à l’autonomie dans la reproduction, à la vie, à la non-discrimination, à la santé et à l’intégrité personnelle” des femmes. Voilà pourquoi la Cour suprême du pays a décidé mercredi 21 juin qu’elles pouvaient contester les lois des Etats mexicains réprimant l’avortement.
La décision précise que les femmes vivant dans des Etats pénalisant l’avortement peuvent déposer des recours, qu’elles soient enceintes ou pas. De facto, cela amène à autoriser l’avortement au niveau national.