Le Brésilien perdra au moins deux matchs et pourrait même avoir disputé son dernier match car s’il le considérait comme une agression, ce serait quatre matchs et un resterait en attente pour la saison prochaine.
Vinicius aurait pu dire au revoir à la Ligue après son expulsion à Mestalla pour avoir giflé Hugo Duro que De Burgos a revu en VAR.
L’interprétation de l’action sera déterminante. Selon le règlement, il est certain qu’il y a deux jeux minimum pour être une expulsion directe : “Dans les cas où l’expulsion du terrain de jeu est due à des situations dans lesquelles le footballeur n’aurait pas eu la possibilité de contester pour le ballon, la suspension sera d’au moins deux jeux.»
Si l’agression est considérée selon 103, le Brésilien aurait dit au revoir à la saison car ce serait un minimum de quatre matchs. Dans ce cas, il ferait également glisser un jeu pour la prochaine campagne. L’article 103 du Code disciplinaire se lit comme suit : « Attaquer autrui, sans causer de blessure, en prenant en compte comme facteur déterminant de l’élément malveillant, nécessaire dans cette infraction, la circonstance que l’acte a lieu alors que le jeu est arrêté ou à une telle distance s’il s’avère qu’il est impossible d’intervenir dans un set de celui-là, il sera sanctionné d’une suspension de quatre à douze matchs.»
Seulement dans le cas où il est considéré comme violence dans le jeu, selon l’article 130, il pourra rester dans les deux matchs ou atteindre les trois matchs. Dans le premier cas, cette saison pourrait encore se terminer le dernier jour. En cas de trois matchs, il aura également dit adieu à la saison : « Si l’action décrite au paragraphe précédent se produit en dehors du jeu, ne pouvant disputer le ballon ou le jeu arrêté, il sera sanctionné d’un suspension de deux à trois matches, sans préjudice des dispositions de l’article 103 du présent Code ».