Larry Ellison, le fondateur d’Oracle, vient de détrôner Elon Musk et s’empare du titre d’homme le plus riche du monde, selon Bloomberg. Honnêtement, qui aurait parié là-dessus il y a seulement quelques mois ? Alors que tout le monde avait les yeux rivés sur Musk et ses multiples entreprises, Ellison menait discrètement sa barque : et quelle barque !
La vraie histoire derrière cette ascension fulgurante ? L’explosion de l’activité cloud d’Oracle, dopée par la demande planétaire en IA. Depuis l’annonce de ses résultats trimestriels, la valeur de l’action Oracle s’est envolée de plus de 40 %. Oui. On ne voit pas ça tous les jours à Wall Street, à moins d’un miracle ou… d’un très bon coup de poker technologique.
Un nouveau roi sur le trône des milliardaires, porté par la vague de l’intelligence artificielle
Il faut dire qu’Oracle ne fait pas dans la dentelle. Safra Catz, la CEO, a révélé lors de la dernière présentation financière la signature de quatre contrats monstres, chacun pesant plusieurs milliards de dollars, et ce, avec seulement trois clients. Résultat : le carnet de commandes d’Oracle a littéralement explosé. On imagine assez bien Ellison savourer ce moment, lui qui occupe désormais le poste de directeur technique tout en gardant un œil sur les grandes manœuvres stratégiques.
Ce qui est encore plus fou, c’est que selon Bloomberg, la fortune d’Ellison a pris plus de 100 milliards de dollars en un temps record. On parle ici de la plus forte augmentation jamais observée sur la liste des milliardaires du média américain. Imaginez un peu : Larry Ellison trône désormais à 393 milliards de dollars, là où Elon Musk, lui, “n’a plus que” 385 milliards. Franchement, on finirait presque par plaindre Elon… (Enfin, façon de parler.)
Oracle, grand gagnant de la ruée vers l’IA
Premier passage en tête du classement pour Ellison, à 81 ans. Pour ceux qui l’auraient oublié, il a fondé Oracle en 1977, à une époque où l’informatique ressemblait plus à de la science-fiction qu’à un business plan. Aujourd’hui, il incarne la résilience et la capacité à rebondir, même après des décennies sur le marché. Quand beaucoup misaient sur la fin de course des “vieux” de la tech, Ellison prouve qu’on peut encore rafler la mise à un âge où d’autres profitent de leur retraite.
Le succès d’Oracle, c’est aussi celui d’une entreprise qui a su capter, voire anticiper, la vague de l’intelligence artificielle. Alors que certains concurrents piétinent ou cherchent encore leur place dans ce nouveau monde, Oracle fonce, signe des contrats colossaux et s’impose comme un acteur central de cette révolution numérique.
Le parcours de Larry Ellison, c’est un mélange de flair, d’audace et de persévérance. Son retour au sommet prouve qu’on n’est jamais trop vieux pour faire la une… et exploser tous les compteurs. Si quelqu’un veut un modèle de carrière à suivre dans la tech, voilà un exemple qui décoiffe.
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