La nouvelle série Huawei Mate 80 fait beaucoup parler d’elle, et franchement, il y a de quoi ! Si l’on en croit les leaks les plus récents, la firme chinoise prévoit de marquer un gros coup en novembre avec rien de moins que quatre modèles ambitieux.
Le Mate 80 standard, le Mate 80 Pro, le Pro+ et l’extravagant Mate 80 RS seront présenté. Chacun va clairement chercher à en mettre plein la vue, à la fois côté design, performance… et, on ne va pas se mentir, pour titiller la concurrence qui commence sûrement à transpirer. Digital Chat Station, via Weibo révèle un certain nombre de détails sur le produit qui méritent qu’on s’y penchent.
L’ADN Huawei toujours plus musclé côté photographie
Comme d’habitude, Huawei ne lâche rien côté photo, c’est presque dans son ADN maintenant. Le Mate 80 « de base » s’équipe d’un capteur principal de 50 MP assez costaud (taille 1/1,5 pouces), histoire de ne pas faire de jaloux chez les amateurs de réseaux sociaux.
Si vous êtes du genre à zieuter chaque détail de vos clichés, le Pro pousse carrément le délire avec un capteur SmartSens 580, toujours à 50 MP mais plus grand (1/1,3 pouces), pour une luminosité et un piqué d’image améliorés.
Quand on monte d’un cran, les modèles Pro+ et RS embarquent le SmartSens 590, encore plus balèze sur le papier, bien que le nombre de mégapixels ne change pas. Concrètement, cela signifie des photos hyper détaillées, même de nuit, et une gestion de la lumière carrément boostée. De quoi faire pâlir d’envie les aficionados de la photo mobile ou ceux qui veulent juste humilier leurs amis sur Instagram.
L’écrans donne place à la fantaisie et à la courbure
Côté affichage, Huawei semble vouloir en mettre plein les yeux, littéralement. Le Pro serait équipé d’une dalle plate « 2.5D » (on comprend : c’est un peu plus classe qu’une dalle classique) intégrant la reconnaissance faciale 3D, histoire d’assurer rapidité et sécurité. Les Pro+ et RS seraient encore plus futuristes, avec des écrans « quad curved 4D ». On peut chipoter sur le jargon marketing, mais face à une telle promesse de design et d’immersion, difficile de ne pas être intrigué.
Le Mate 80 RS, quant à lui, flirte carrément avec le luxe numérique grâce à un écran tandem OLED de 6,9 pouces. Grâce à une superposition de couches d’émission, cette technologie promet des noirs encore plus profonds, une meilleure luminosité, et, clin d’œil aux utilisateurs intensifs, une durée de vie supérieure à ce qu’on connaît sur les OLED classiques.
Le design est tout bonnement le détail qui tue
Parce qu’un flagship ne serait rien sans un peu de bling-bling, Huawei envisagerait d’incorporer un châssis en alliage de titane (rien que ça !) et une coque arrière en verre au toucher céramique. On est loin de l’époque du plastique cheap : ici, tout respire le premium, et c’est clairement pensé pour séduire les utilisateurs exigeants qui veulent un objet aussi beau que performant.
Performances et batterie, et le problème de l’autonomie peut aller se faire voir
Sous le capot, on retrouverait le tout nouveau processeur Kirin 9030, maison, s’il vous plaît ! Malgré les obstacles internationaux, Huawei prouve qu’elle n’a pas l’intention de lâcher l’affaire côté puces. Autre argument massue : une batterie de plus de 6000 mAh, de quoi tenir la journée, voire deux, sans flipper à l’idée de tomber en rade. Et pour les plus pressés, là aussi Huawei sort le grand jeu : charge filaire à 100 W, sans fil à 80 W. Clairement, la pause café suffira pour rebooster votre smartphone.
Système et Connectivité : il faut dire que l’écosystème n’est pas en reste
La partie logicielle tourne, sans surprise, sur HarmonyOS, le pari maison pour s’émanciper d’Android et renforcer l’écosystème Huawei. Le support eSIM fait son apparition, une petite révolution pour ceux qui jonglent entre plusieurs lignes ou voyagent souvent. Huawei mise aussi sur un renforcement de l’IA pour offrir une expérience plus intelligente et personnalisée, dans la lignée de la folie « AI » qui secoue toute l’industrie actuellement.
En résumé, la série Mate 80 compte clairement jouer dans la cour des grands, avec cette petite touche audacieuse et avant-gardiste qui fait la force de la marque. Si seulement la moitié des rumeurs se vérifient, il y a de fortes chances pour que les ténors du secteur (oui, on vous regarde, Apple et Samsung) commencent sérieusement à trembler.
Les utilisateurs européens, eux, n’ont qu’une seule question en tête : tous ces beaux jouets, auront-on vraiment le droit d’en profiter ? On en saura plus en novembre après le lancement.
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